L'exemple de Anne, la mère du prophète Samuel
L'exemple d'Anne, tout simplement selon nous parce que c'est un modèle de respect et d'accomplissement de la volonté de Dieu. Elle ne se contente pas de faire une promesse à Dieu. Elle s'évertue également à réaliser ce qu'elle a promis. Avec elle on comprend une fois de plus que la vie est un don de Dieu qu'il nous donne pour un but bien précis. Si après notre mauvaise manière de nous comporter, nous-nous retrouvons en train de porter la vie en nous, nous devons savoir que c'est un don de Dieu. Nous dirons même une bénédiction Divine porteuse d'un projet divin.
Le Seigneur veut que nous prenions soin de la vie qu'il nous a donné. Il ne voudrait pas que nous-nous retrouvions stériles, coupables, dépressifs(ves) et apeurer au point d'interrompre brutalement notre pèlerinage terrestre. Il voudrait que nous lui demandions de nous aider à assumer cette situation qui nous angoisse pour ne pas faire un choix qui l’afflige d’avantage. Il voudrait que la honte d’avoir conçu maladroitement Soit une prière de supplication et non pas un moyen pour nous de fuir nos responsabilité. Il voudrait que nous souffrions avec Lui pendant un laps de temps pour nous réjouir avec lui toute notre vie. Il voudrait que nous prenions soin de la vie qu'il nous a donné comme il prend soin de chaque Homme et que nous apprenions à nos enfants qu'il n'y a rien de plus beau que la Vie. Il voudrait que nous les aidions à comprendre leur sexualité afin qu'ils puissent se comprendre eux-mêmes.
Les enfants de Dieu appartiennent au royaume des cieux "1 P 2, 9". C'est la raison pour laquelle ils ne doivent pas s'abandonner aux tendances du monde. Après leur investiture "messianique, prophétique et royale", ils appartiennent au Christ. Les parents spirituels tout comme les parents biologiques de commun accord avec leurs communautés, ont pour responsabilité de les aider à demeurer sur le chemin de la vie. Il n'est pas bon qu'après leur "affiliation divine" les enfants se retrouvent noyautés dans des plaisirs mondains. Même s'il est important de se faire plaisir, le chrétien en particulier et l'enfant de Dieu en général ne doit pas perdre de vue que son domaine de définition ne s'étend pas à l'infini de ses préocupations mondaines. Nous devons méditer sur la qualité de vie que nous menons. Nous devons prier avec notre vie afin qu'en communion avec notre Dieu, nous nous réjouissions de ses bienfaits dans nos vies qui en fait ne sont pas les nôtres, mais les sienne.
